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mes Iconoglanes inspirent .....

L’Icônoglane de Choupie est née le 23 juin 2007, à Kereun, un lieu-dit du regroupement communal de Lesconil et Plobannalec. C’est un concept artistique de genre féminin : une icônoglane.
Son inventeur est Marie-Christine DURAND, plus connue sous le nom d’Artiste de « CHOUPIE ».
Mais, comme une théorie scientifique n’a de valeur que si sa confrontation avec le réel entraîne sa validation, le concept artistique n’a de sens que par ses réalisations pratiques, sous peine de rester dans le panthéon des rêves inachevés.
Passant de l’épistémologie à l’ontologie, quelques mois plus tard, les premières Icônoglanes de Choupie (IdC) virent le jour, d’abord naïves et en devenir, elles atteignirent rapidement la luxuriante exubérance que certains privilégiés leur connaissent.
La réalisation de l’Icônoglane de Choupie se déroule en trois étapes, suivant un mode opératoire - les anglophones parleront de « process » et les médecins de « protocole » - élaboré de façon intuitive et parcimonieuse.
On notera que si ce procédé n’a fait l’objet d’aucun dépôt auprès de l’INPI, il entre néanmoins dans le cadre de la protection instaurée par la Déclaration universelle des droits de l’homme 1, et par la Convention de Berne du 9 septembre 1886.
Il comporte trois étapes.
Etape 1 Le glanage
Au cours de promenades pédestres, en bord de mer ou dans la campagne, l’inventeur ramasse des « petits riens », comme l’écrit dans son blog Francis PIERRE, qui lui semblent intéressants, par leur forme, par leur structure, par leur couleur, …2 
Elle les transporte ensuite, jusqu’au lieu de fabrication (voir étape 3) dans des conditions et avec des moyens permettant de conserver l’intégrité des caractéristiques ayant conduit à leur choix (voir ci-dessus).
Etape 2 La conception
A partir de conversations, de lectures, de rêves, de…2, elle imagine un objet qui lui apparait sous la forme d’une image virtuelle.
Etape 3 La fabrication
Elle construit cet objet – l’icônoglane – en rassemblant et en collant 3 les éléments glanés à l’étape 1, pour faire une représentation matérielle de l’image de l’étape 2.
Les scientifiques et même les littéraires n’auront pas été sans noter que l’IdC s’inscrit dans le principe épistémologique « un objet est plus que la somme de ses composants » et que seule une approche holistique permet de l’apprécier.
Une réflexion est en cours pour atteindre un public international (nul n’est prophète en son pays), mais la personne approchée à cet effet préfère la dénomination originale, à la traduction littérale : « Choupie’s iconglean » qui n’apporte pas cette « french touch » que recherche le public international.

Notes :
1 Celle-ci énonce que toute personne a droit à la protection des intérêts moraux et matériels découlant de toute production scientifique, littéraire ou artistique dont elle est l’auteur (article 27).
2 A ce stade de l’élaboration du procédé, on considérera cette énumération comme non limitative
3 Pour éviter toutes interférences publicitaires avec les fabricants de colle, le nom de la colle retenue ne sera pas révélé dans ce document.


Jo LETNAZH version 2 du 16 août 2017

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